Dans les 35 sonnets, publiés à compte d’auteur à Lisbonne en 1918, il chante l’angoisse devant la destinée, l’énigme de l’univers, l’artifice des formes apparentes, l’inanité de toute action et de tout mouvement : lieux communs sans âge, mais magnifiés sous sa plume par un ésotérisme savant et servis par une forme inattendue, qui épouse étroitement les arabesques du néo-platonisme. (Armand Guibert)
Sonnet I
Par la parole, par l’écrit ou par le seul regard Nous sommes éternellement (…)
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