Les cahiers d’Hermès 2. Dir. Rolland de Renéville. La Colombe, 1947
L’enseignement de tous les Maîtres qui n’ont point laissé d’écrits — et même celui de nombreux Maîtres dont nous possédons des ouvrages authentiques — a toujours donné lieu à des interprétations, à des développements qui, en maints cas, en ont faussé le sens originel.
Le Bouddhisme ne fait pas exception. Dans l’Inde, d’abord, puis dans les différents pays où il s’est implanté ensuite, il a produit une exubérante (…)
Excertos de obras literárias, cênicas e gráficas, além de crítica literária, com foco no imaginal mitográfico, lendário e fantástico.
Matérias mais recentes
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David-Neel: QUELQUES ASPECTS PARTICULIERS DU BOUDDHISME TIBETAIN
3 de novembro de 2008 -
Chenique: Raison et intellect
3 de novembro de 2008Extrait du livre "Le buisson ardent". Essai sur la métaphysique de la Vierge". La pensée universelle, 1952.
La métaphysique, science des principes premiers, est une connaissance réelle, et pas seulement rationnelle ou théorique. Nous avons vu que le Père Gardeil distingue trois degrés dans la sagesse: la sagesse humaine que l’on peut appeler philosophie dans la mesure où elle aspire à l’acquisition de la vraie sagesse, la sagesse théologique qui vit de la foi, et la sagesse don du (…) -
Chenique: Perspective métaphysique
3 de novembro de 2008Extrait du livre "Le buisson ardent". Essai sur la métaphysique de la Vierge". La pensée universelle, 1952.
Origine du mot
Ta meta ta physica est le nom donné à l’ouvrage d’Aristote que nous appelons aujourd’hui la Métaphysique parce qu’il faisait suite à la Physique dans la collection des œuvres d’Aristote recueillie par Andronicos de Rhodes au 1er siècle av. J.-C. Sous cette forme, l’expression date au plus tard du 1er siècle de l’ère chrétienne mais Metaphysica en un seul mot date (…) -
SIRCAR: COUP D’ŒIL SUR LES UPANISHADS
3 de novembro de 2008Extrait de « Approches de l’Inde ». Trad. F.B.
Les Upanishads constituent la base de la pensée et de la spiritualité hindoues. Bien qu’elles n’aient donné naissance à aucune philosophie au sens où la pensée moderne l’entend, c’est cependant à leurs profondes expériences spirituelles que la structure de la pensée indienne doit son origine et sa séduction. Leur sublime simplicité et leur richesse d’inspiration leur donnent un puissant attrait. Leurs images sont souvent pleines de poésie, et (…) -
Aurobindo: LES MÉTHODES DE CONNAISSANCE VÉDÂNTIQUE
3 de novembro de 2008Extrait de « Approches de l’Inde », traduction française de Camille Rao, Suzanne Forgues et Jean Herbert, révisée par l’auteur.
La vérité des choses échappe toujours aux sens. Et pourtant c’est une bonne règle inhérente à la structure même de l’existence universelle que lorsqu’il y a des vérités accessibles à la raison, il doit y avoir quelque part dans l’organisme doué de cette raison un moyen de parvenir à ces vérités ou de les confirmer par l’expérience. Le seul moyen dont dispose (…) -
Herbert: INTRODUCTION A LA MYTHOLOGIE HINDOUE
3 de novembro de 2008Extrait de « Approches de l’Inde »
La formule primitive de la sagesse promet d’en être aussi l’ultime. Shrî Aurobindo, la Vie divine.
Les personnages de la mythologie hindoue, dieux et démons, ne sont pas des inventions arbitraires d’hommes primitifs non encore parvenus aux degrés « supérieurs » d’évolution qui correspondent selon nous à la religion monothéiste, à la philosophie rationnelle et à la science matérielle. Ce ne sont pas non plus des personnifications plus ou moins naïves (…) -
Aurobindo: LA CLEF DU VÊDA
3 de novembro de 2008Ce texte constitue l’importante introduction aux Hymns to the Mystic Fire, extraits du Rig Vêda, traduits par Shrî Aurobindo et parus en 1946 (Shrî Aurobindo Ashram, Pondichéry. Traduit par F. Berys et R. Allar et révisé par l’auteur.
Dans les temps anciens, le Vêda était vénéré comme un livre de Sagesse sacrée, comme un vaste ensemble de poèmes inspirés ; c’était l’œuvre des Rishis, les voyants et les sages qui reçurent en leurs esprits illuminés, plutôt qu’ils ne conçurent mentalement, (…) -
Fabre d’Olivet: EN GUISE DE COMMENTAIRE DE LA TRADUCTION DU SÉPHER
28 de outubro de 2008Gnostiques de la Révolution, Fabre d’Olivet. Choix de textes par André Tenner. Engloff, Paris, 1946
L’amour.
Adam parle :
Mon amour, dans Eden, était pur et simple comme moi; c’était un sentiment mêlé avec ma vie, qui ne me paraissait pas en être distinct. Je n’aurais pu cesser d’aimer, quand je l’aurais voulu. L’amour était comme le principe de mon être, et la lumière de ma vie. A présent, au contraire, mon être en est devenu le principe, et ma vie s’en est détachée. J’ai connu comme (…) -
Fabre d’Olivet: NOTES DE LA TRADUCTION DU SÉPHER
28 de outubro de 2008Gnostiques de la Révolution, Fabre d’Olivet. Choix de textes par André Tenner. Engloff, Paris, 1946
CHAPITRE PREMIER
1. Beraeshit... premièrement-en-principe.
Ce mot, dans la place où il se trouve, offre trois sens distincts, l’un propre, l’autre figuré, le troisième hiéroglyphique. Moïse les a employés tous les trois, comme cela se prouve par la suite même de son ouvrage. Il a suivi en cela la méthode des prêtres égyptiens; car je dois dire avant tout que ces prêtres avaient trois (…) -
Fabre d’Olivet - La cosmogonie de Moïse (cont.)
28 de outubro de 2008Gnostiques de la Révolution, Fabre d’Olivet. Choix de textes par André Tenner. Engloff, Paris, 1946
Chapitre VI. — La. Mesure proportionnelle.
8. Noé seul, le repos de la Nature élémentaire, trouva grâce aux yeux de Ihôah.
13. Alors, manifestant sa parole, il dit à Noé: le terme de toute corporéité vivante s’approche à mes yeux: la Terre s’est comblée d’une ardeur ténébreuse et dévorante qui la dégrade et l’avilit d’une extrémité à l’autre: me voici, laissant naître de cette même (…)