L’art indo-chinois
TABLE DES MATIÈRES
L’ARCHITECTURE
I. — L’architecture religieuse. — Culte des ancêtres. — Taoïsme, confucianisme, bouddhisme. — Type architectonique du temple. — La pagode, confucéenne. — Les temples commémoratifs. — L’architecture religieuse des Khmers. — Les manifestations religieuses du Laos, du bas Mékong et du Siam
II. — L’architecture militaire. — Les anciennes forteresses tonkinoises. — Dalla. — Les fortins détachés. — Les forteresses de l’ancien Cambodge (…)
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Oriente
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Matgioi: L’art indo-chinois
8 de novembro de 2008 -
Berdiaeff: L’Homme et le cosmos - La Technique
8 de novembro de 2008L’homme est un être naturel; il est lié par de multiples fils à la vie cosmique, dépend du circuit de la vie cosmique. Le corps de l’homme est soumis notamment aux processus physico-chimiques. Lorsque l’homme meurt en tant qu’être naturel, les éléments qui composent son corps se dissolvent dans la matière et dans la vie cosmique. L’homme vit dans le monde naturel et se trouve forcé de prendre position vis-à-vis de ce monde.
Mais, le mystère de l’homme est dans le fait qu’il n’est pas (…) -
Vermale: Notes sur Joseph de Maistre , inconnu
6 de novembro de 2008Notes sur Joseph de Maistre , inconnu- Vermale, F. (François), b. 1876
Table Analytique des Matières
Chapitre I. — J. de Maistre et l’Illuminisme.
J. de Maistre F. *. M . *. — Le mouvement maçonnique en Savoie au XVIIIe siècle. — La loge des Trois-Mortiers. — La Réforme écossaise. — J. de Maistre quitte les Trois Mortiers et passe à la loge La Sincérité. — J. de Maistre et Willermoz. —J. de Maistre et la loge des Sept-Amis. — La loge la Sincérité suspend ses travaux en 1790. — La (…) -
Berdiaeff: L’Homme et Dieu - La Spiritualité
6 de novembro de 2008Royaume de l’esprit et Royaume de César. Delachaux et Niestlé, 1951
L’homme se trouve placé devant le problème des problèmes: celui de Dieu. Ce problème est rarement posé dans sa pureté originelle; il s’est trouvé trop étroitement associé à une scolastique stérilisante, à la philosophie verbale, au jeu des concepts. Ceux qui voulaient rehausser l’idée de Dieu, l’ont terriblement rabaissée, attribuant à Dieu des qualités empruntées au royaume de César et non au royaume de l’Esprit.
Rien (…) -
Berdiaeff: INTRODUCTION GNOSEOLOGIQUE
6 de novembro de 2008Royaume de l’esprit et Royaume de César. Delachaux et Niestlé, 1951.
La lutte pour la vérité
Nous vivons à une époque où l’on n’aime pas la vérité et on ne la cherche pas. La vérité est de plus en plus souvent remplacée par l’intérêt et l’utilité, par la volonté de puissance. La désaffection envers la vérité s’exprime non seulement dans une attitude nihiliste ou sceptique à son égard, mais aussi dans la substitution à la vérité de l’une ou l’autre croyance, de l’un ou l’autre (…) -
Rolland de Renéville: SCIENCES MAUDITES ET POETES MAUDITS
4 de novembro de 2008Les cahiers d’Hermès. Dir. Roland de Renéville. La Colombe, 1947
Il est de vérité courante que la fin du dix-huitième siècle et le commencement du dix-neuvième furent caractérisés par une volonté de recherche dégagée des contraintes de toute foi. On pourrait déduire de certaines apparences que la dure lutte que les Encyclopédistes entreprirent contre les dogmes religieux, et que les adeptes des divers matérialismes prolongèrent à leur tour, allait détourner les chercheurs de connaissances (…) -
Vallin: La perspective métaphysique et le principe d’individuation
4 de novembro de 2008Être et Individualité par Georges Vallin, PUF 1959.
II. — La perspective métaphysique et le principe d’individuation
A) La Transcendance comme intériorité absolue.
Transcendance, subjectivité et voie négative
(NA: Les fondements métaphysiques de « l’individuation d’intériorité »)
La notion de l’Absolu qui caractérise la perspective métaphysique repose sur une conception intégrale de la Transcendance. Si l’Absolu conçu en style métaphysique, par opposition à l’Absolu conçu en style (…) -
Vulliaud: FIN DU MONDE ET PROPHÈTES MODERNES
3 de novembro de 2008Les cahiers d’Hermès. Dir. Rolland de Renéville. La Colombe, 1947.
Le XVIe siècle serait, dit-on, l’âge de la lumière rationnelle, de la vie retrouvée. La Renaissance, la Réforme seraient, d’ensemble, des mouvements libérateurs des esprits trop longtemps comprimés par l’Eglise. Il serait prudent de ne rien confondre, mais nous ne pouvons nous attarder afin de montrer que l’Humanisme et la Réforme ne sont point solidaires l’un de l’autre.
Il nous semble que la Réforme a plus encore (…) -
Dr. Paul Carton: LA LOI DE CAUSALITÉ
3 de novembro de 2008Le besoin de savoir.— La découverte de la loi. — La science expérimentale. — Le pourquoi et le comment sont le fondement de la connaissance et du progrès. — Les causes secondaires sont souvent trompeuses ; les causes premières sont seules véritables. — L’existence universelle de causes ordonnées et hiérarchisées implique l’existence d’une Cause suprême, créatrice, législatrice et conservatrice qui est Dieu. — La passion de la Vérité. — La médecine des causes apparentes et la médecine des causes occultes.
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Dr. Paul Carton: LA SCIENCE OCCULTE ET SES LOIS
3 de novembro de 2008La Table d’Emeraude d’Hermès.— I. — Loi de causalité ou de création. — Tout a une cause. Il n’y a pas d’effet sans cause. Il existe des lois universelles. Il existe des lois naturelles. — II. — Loi d’unité des causes ou de monothéisme. — L’ensemble des lois universelles invisibles implique un Législateur unique et invisible qui est Dieu. — III. — Loi d’analogie ou de correspondance. — Le microcosme est l’analogue du ma-orocosme dans les trois plans de l’Uni-Trinité. — IV. — Loi de vie universelle rythmée. — Rien n’est inerte. Tout vit, tout vibre en rythmes alternants. — V. — Loi d’évolution et d’adaptation ou de progrès. — Tout évolue et progresse par attraction divine, secours providentiel, adaptation naturelle et transmutation spirituelle. — VI. — Loi de synthèse hiérarchisée ou de solidarité. — La création est organisée en synthèse solidarisée et hiérarchisée que l’humanité doit imiter dans ses constitutions individuelles, familiales, nationales et internationales. — VII. — Loi de finalité. — Dieu, le commencement de tout, est le moyen providentiel et la fin de tout, que l’on doit atteindre par le sacrifice pour la vérité.