Accueil > Shruti - Smriti > Ficin : Théologie platonicienne de l’immortalité des âmes
Marsile Ficin
Ficin : Théologie platonicienne de l’immortalité des âmes
Trad. Raymond Marcel, Belles Lettres, 1964
jeudi 14 août 2008
Essai de résumé à partir de la table de matières
- LIVRE SEPTIÈME : Sa vie sensitive prouve que rame est indivisible.
- Ch. I — L’âme n’est pas ni corps ni une forme divisée dans un corps ni un point d’une telle forme. Elle est une forme toute entière dans chaque partie du corps comme le prouve sa puissance sensitive. Première raison. Le corps ne saisit pas les images sensibles
- Ch. II — Deuxième raison. Il faut que les cinq sens convergent vers un centre unique
- Ch. III — Troisième raison. Plus un sens est réduit, plus il est pénétrant
- Ch. IV — Quatrième raison. Si le sens est divisible, l’image sensible en lui sera divisée
- Ch. V — Cinquième raison. L’âme sent partout tout entière
- Ch. VI — Sixième raison. L’âme ne pâtit pas nécessairement quand elle sent
- Ch. VII — Septième raison. Preuves particulières par la puissance naturelle et sensitive de l’âme. L’âme n’est pas divisible, parce que l’œuvre de la qualité est une
- Ch. VIII — Huitième raison. Le tempérament agit par la puissance des qualités
- Ch. IX — Neuvième raison. Le tempérament est une forme accidentelle
- Ch. X — Dixième-* raison.-* L’harmonie-* d’un-* tempérament n’exerce aucune action sur le corps
- Ch. XI — Onzième raison. En tout corps composé il y a une harmonie
- Ch. XII — Douzième raison. On entend par harmonie ou la composition des membres ou la raison de cette composition
- Ch. XIII — Treizième raison. L’harmonie des humeurs ne saisit rien indépendamment de la matière
- Ch. XIV — Quatorzième raison. Plus il y a accord, plus il y a harmonie
- Ch. XV — Quinzième raison.-* L’harmonie n’admet-* aucune dissonance

